Être parent est l’une des expériences les plus gratifiantes de la vie, mais celle-ci peut aussi être l’une des plus épuisantes. Entre jongler avec les responsabilités quotidiennes, les nuits agitées et les multiples demandes des enfants, il est facile pour les parents de se retrouver fatigué, mentalement et physiquement. Dans cette quête pour maintenir l’harmonie familiale, beaucoup se tournent vers des solutions naturelles pour booster leur vitalité. Parmi celles-ci, les plantes médicinales se révèlent être de précieuses alliées, offrant un soutien salutaire pour calmer l’esprit et rétablir l’énergie. Dans cet article, je vous propose de découvrir les 3 meilleures plantes pour combattre l’épuisement parental.
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Comprendre l’épuisement parental
L’épuisement parental conduit souvent à un burn-out. C’est un état de stress et de fatigue physique, mentale et émotionnelle, qui survient suite à un stress chronique, en raison de nombreuses responsabilités parentales. Des parents épuisés affectent la qualité de vie familiale, ainsi que la capacité à prendre soin de leurs enfants de manière optimale. Cette situation touche aussi bien les mères que les pères.
Les facteurs menant à l’épuisement parental
Il peut être causé par de nombreux facteurs :
- Un manque de sommeil dus à des interruptions fréquentes pour répondre aux besoins des tout-petits, par exemple.
- Un stress permanent provoqué par des exigences constantes sur l’éducation des enfants, les responsabilités familiales et professionnelles, ainsi que les défis du quotidien entraînent un stress chronique.
- Des attentes irréalistes, causées par une pression sociale élevée concernant la parentalité. Celles-ci créent donc, un sentiment de stress et d’insatisfaction.
- Des difficultés liées à l’enfant, notamment ceux aux besoins spéciaux ou aux comportements qui exigent plus d’attention et de ressources.
- Des conflits familiaux ou conjugaux peuvent produire des tensions, accentuant le risque d’épuisement parental.
- Un manque de soutien social et l’isolement peuvent rendre la charge parentale difficile à mener.
- Des difficultés financières ajoutent une pression supplémentaire, obligeant à jongler entre les responsabilités et les défis pécuniers.
Bien sûr, ces facteurs peuvent varier d’une personne à l’autre, mais aussi interagir de différentes manières, pour contribuer à l’épuisement parental.
Quels sont les signes de l’épuisement parental ?
Les symptômes de l’épuisement parental peuvent inclure :
- Une fatigue profonde et persistante, même après avoir dormi longtemps ;
- Des troubles du sommeil, comme l’insomnie ou les difficultés à s’endormir ;
- Un manque de concentration sur les tâches du quotidien ;
- Une perte d’intérêt et d’épanouissement pour les activités familiales, mais aussi un manque de plaisir et de motivation d’être avec ses enfants ;
- Une isolation sociale et une altération des échanges avec d’autres personnes ;
- Un sentiment de se sentir débordé et submergé face aux demandes quotidiennes. Aussi, le simple fait d’y penser est épuisant ;
- Une irritabilité et une impatience face à des situations mineures ;
- Une certaine culpabilité de ne pas pouvoir répondre aux attentes personnelles et sociales ;
- Baisse de l’estime de soi et manque de confiance dans ses capacités parentales ;
- Une négligence de soi et un manque d’écoute de ses propres besoins au profit de ceux des enfants ;
- Des symptômes physiques tels que des maux de tête, des douleurs abdominales ou encore des douleurs musculaires.
Si vous reconnaissez certains de ces signes, prenez sans tarder des mesures pour prendre en charge votre épuisement parental. Cherchez du soutien auprès de votre partenaire, de votre famille, de vos amis ou de votre médecin, afin de prévenir et traiter vos maux.
Les conséquences de l’épuisement parental
Les répercussions sont importantes sur la santé mentale, émotionnelle et physique des parents, mais aussi sur le bien-être de leurs enfants. Voici quelques-unes des conséquences possibles de l’épuisement parental :
- Augmente le risque de développer de l’anxiété, de la dépression ou du stress chronique.
- Accentue les difficultés relationnelles avec son entourage, à cause d’une irritabilité accrue et du retrait social. Intensifie aussi, les répercussions sur le couple avec un risque possible de séparation.
- Baisse des aptitudes parentales à fournir un soutien affectif et à répondre aux besoins de leurs enfants, entrainant ainsi une mauvaise estime de soi. Un fort sentiment de culpabilité, d’échec et de honte peut donc apparaître.
- Détériore le développement psycho-affectif des enfants, avec des risques majeurs de négligences ou d’abus physiques et psychologiques.
- Aggrave des problèmes de santé physique, tels que des troubles graves du sommeil, de la digestion et divers autres symptômes liés au stress.
► Reconnaître et prendre en charge l’épuisement parental est important ! Faites appel à des professionnels de la santé, cherchez un soutien familial et prenez des mesures pour réduire le stress et prendre du temps pour vous ressourcer, avant d’atteindre un état d’épuisement plus difficile à combattre.
Comment les plantes médicinales peuvent soutenir l’épuisement parental ?
Les plantes peuvent agir de plusieurs façons, afin d’atténuer les symptômes de l’épuisement et de soutenir le bien-être des parents.
Certaines plantes aux capacités adaptogènes (1) et anxiolytiques, permettent de réduire le stress, l’anxiété et l’irritabilité associée à l’épuisement parental. Elles agissent donc, en régulant le niveau de cortisol (l’hormone du stress) dans le corps. Elles favorisent ainsi un état de relaxation et de calme.
Quelques-unes ont des propriétés antidépressives qui vont aider à améliorer l’humeur et à réduire les sentiments de tristesse et de dépression.
L’amélioration du sommeil peut également être obtenue grâce à des actions sédatives et apaisantes, chez les personnes souffrant d’insomnie.
Des parents épuisés et donc, plus susceptibles de tomber malade peuvent également bénéficier, d’un renforcement du système immunitaire.
En agissant sur le système nerveux central, les plantes peuvent soutenir l’équilibre émotionnel et le bien-être général. Un état essentiel pour faire face à l’épuisement parental !
Attention, les plantes médicinales peuvent ne pas convenir à tout le monde. Il est donc recommandé, de consulter un thérapeute qualifié, avant de commencer à les utiliser. En particulier, si vous prenez d’autres médicaments ou si vous avez des problèmes de santé sous-jacents.
Les meilleures plantes contre l’épuisement parental
Découvrez 3 plantes médicinales indispensables pour combattre l’épuisement parental. Leurs fortes propriétés ont déjà fait leurs preuves.
Rhodiole (Rhodiola rosea)
Cette plante vivace appartient à la famille des Crassulacées. Elle pousse en montagne ou dans des zones septentrionales froides d’Arctique et d’Asie, comme en Russie, en Scandinavie, en Alaska ou encore au Canada. Mais vous pouvez également en rencontrer en Suisse, dans les Vosges, les Alpes et les Pyrénées.
Ses feuilles sont nombreuses, élancées, charnues et fortement dentées. Les fleurs dioïques sont verdâtres, jaunes, voire rougeâtres, en forme de corymbe serré en haut des tiges. Sa floraison est estivale, en juillet et août. La rhodiole pousse très lentement.
► En phytothérapie, c’est le rhizome qui est principalement utilisé. Cette énorme racine ressemble à un gros tubercule.
Cette plante est mon premier choix pour combattre l’épuisement parental !
La rhodiole augmente la résistance au stress et calme l’anxiété. Elle agit également sur la fatigue mentale et physique (2). Ainsi, elle améliore les performances. La plante stimule la multiplication des cellules de l’hippocampe et développe le taux cérébral. Pour ces raisons, elle accroît la mémoire et la concentration. Elle est aussi immunostimulante, antioxydante et surtout, antidépressive (3). Elle permet d’augmenter le taux cérébral de sérotonine et de dopamine. Enfin, la rhodiole stimule la vitalité.
Posologie
→ En teinture : 60 à 80 gouttes, le matin.
→ En poudre : 300 à 600 mg par jour, soit 150 à 300 g, deux fois par jour. À consommer 30 minutes avant les repas, le matin et le midi. 10 jours de cure, mais 20 jours en cas de fatigue intense, puis 20 jours de pause.
→ En décoction : 10 à 20 g de racines sèches et coupées en morceaux, pour 1 litre d’eau. Laissez frémir 10 minutes, puis laissez infuser pendant 30 minutes. Ensuite, consommez 2 à 3 tasses par jour, le matin et l’après-midi, pendant 3 semaines.
La plante sèche a une odeur subtile de rose et de violette. Son goût est acidulé.
Attention, réduisez les doses, si vous constatez que la plante crée une surexcitation !
Contre-indications
La Rhodiole est en général bien tolérée ! Mais, les prises doivent être évitées le soir, car elle peut entraîner des problèmes d’endormissement.
- Déconseillé par précaution, chez la femme enceinte et allaitante ;
- Prudence en cas de psychose maniaco-dépressive ;
- Surveillez son effet hypoglycémiant et régulateur de la tension artérielle, si vous êtes sous traitement diabétique et hypertendu.
Ginseng (Panax ginseng)
Le Ginseng appartient à la famille des Araliacées. L’étymologie du mot « Panax » signifie « le remède universel ». Originaire de Chine, de Russie et de Corée du Nord, cette herbacée vivace est plutôt rare à l’état sauvage. Depuis 7 000 ans, c’est la plante la plus recherchée pour ses propriétés médicinales.
Sa longue tige verte et lisse est parfois teintée de rouge. Les feuilles sont palmatilobées. De nombreuses fleurs blanches à 5 pétales sont réunies en ombelle au bout de la tige.
► En phytothérapie, c’est la racine qui est utilisée. Elle est charnue, blanche et plus ou moins grosse. Elle est souvent divisée en deux. Le tubercule se récolte en automne, à partir de la sixième année, au minimum, car c’est le moment où les principes actifs sont les plus concentrés.
Le Ginseng aide le corps à résister au stress, au froid, à la faim et au surmenage. C’est un tonique général, il est donc revitalisant. Il stimule et fortifie également le système immunitaire et intellectuel. Ses propriétés sédatives et antistress luttent contre l’insomnie, le stress et la fatigue physique et émotionnelle. La plante améliore les performances mentales et les capacités cognitives. Pour finir, le ginseng est anti-inflammatoire, tonifie le système cardiaque et améliore le fonctionnement du foie. Il a aussi des propriétés antidépressives (4).
Posologie
Selon la méthode de transformation pour la conserver, deux couleurs se différencie : le ginseng blanc et le ginseng rouge.
→ En teinture de ginseng blanc : 20 à 40 gouttes.
→ En teinture de ginseng rouge : 5 à 15 gouttes.
Pas de ginseng le soir ! À utiliser avec un fond d’eau, tous les matins et/ou les après-midi, 1 à 3 fois par jour, selon les besoins. En cure de 4 à 6 semaines !
→ En poudre : 1 à 2 g par jour, de préférence le matin. En cure de 10 jours, puis faire une pause de 10 jours avant de reprendre.
→ En décoction : 10 à 30 g de racines finement coupées pour 1 litre d’eau. Puis, laissez bouillir 15 minutes et infuser au minimum 1 heure. Ensuite, buvez 2 à 3 tasses par jour, le matin et avant 16 heures.
Sa saveur est à la fois amère et sucrée.
Contre-indications
- Respectez les doses recommandées et ne prolongez pas sa consommation au-delà de 3 mois. Une administration plus longue peut provoquer des manifestations similaires à un surdosage en corticoïdes et de l’hypoglycémie.
- Déconseillé en cas d’hypertension artérielle, d’asthme sévère, de palpitations cardiaques, de psychose et d’antécédents de cancers hormono-dépendants.
- Évitez de l’utiliser chez la femme enceinte, allaitante et chez les enfants de moins de 12 ans.
- Interactions médicamenteuses possibles avec certains médicaments pour la coagulation, la dépression et la migraine.
- Ne pas associer à d’autres excitants.
Éleuthérocoque (Eleutherococcus senticocus)
Cet arbuste épineux et résistant appartient à la famille des Araliacées. Il est de la même famille que le ginseng. D’ailleurs, on le surnomme aussi « ginseng sibérien ». Il peut mesurer jusqu’à 3 mètres de haut.
Les jeunes branches sont couvertes d’épines, mais disparaissent lorsqu’elles sont plus âgées. Les feuilles sont composées de 3 à 5 folioles, recouvertes aussi d’épines sur les deux faces. Les fleurs sont petites et disposées en ombelle. Les inflorescences femelles sont jaunes. Les inflorescences mâles sont violettes.
► En phytothérapie, ce sont principalement les racines qui sont employées. Elles sont récoltées sur des plants sauvages, dès la fin du printemps ou en automne.
L’éleuthérocoque est un tonique pour tout l’organisme. Il favorise la résistance au stress, à la fatigue, au surmenage et à la douleur (5). Au fil des semaines, il développe la force physique et mentale. Aussi, la vitalité s’accroît. Il est ainsi recommandé en cas de fatigue ou de faiblesse. L’arbuste stimule le cortex cérébral et augmente donc, le tonus intellectuel. Il stimule et protège le système immunitaire, mais également la sphère cardiovasculaire.
Posologie
→ En teinture : 60 à 100 gouttes dans un peu d’eau, 1 à 2 fois par jour.
→ En poudre : 1 g par jour.
→ En décoction : 10 à 30 g de racines pour 1 litre d’eau froide ou 1 cuillère à café de racines coupées en petits morceaux ou en poudre, pour une tasse d’eau de 250 ml. Puis, faites frémir 10 minutes et laissez infuser 1 heure à couvert.
Effectuez des cures régulières de 6 semaines, 3 à 4 fois par an, afin de recevoir tous les bénéfices. À prendre de préférence le matin et avant 16 heures. Enfin, les effets de la plante commencent à apparaître au bout de 3 semaines.
Contre-indications
L’éleuthérocoque est bien toléré aux doses conseillées. Ne pas utiliser plus de 6 semaines, car les longues cures (plus de 3 mois) peuvent provoquer de possibles palpitations, de la tachycardie et de l’hypertension.
- Évitez de l’utiliser chez la femme enceinte et allaitante, avec précaution pendant la puberté.
- Déconseillé en cas d’antécédents de cancers hormono-dépendants.
- Risques d’interactions médicamenteuses avec la caféine, la digoxine, l’insuline, les antibiotiques et les anticoagulants.
► Vous pouvez retrouver toutes les tisanes, les teintures et les compléments dans des herboristeries, des boutiques de diététique et sur Internet. Pensez à bien suivre les doses recommandées de vos fournisseurs.
► Ces informations ne dispensent pas d’un avis médical. Avant toute utilisation des plantes médicinales, prenez rendez-vous avec votre thérapeute de santé, pour vérifier d’éventuelles contre-indications.
Conseils supplémentaires pour soulager l’épuisement parental
Les plantes médicinales ne sont pas les seules alternatives qui existent. Voici quelques conseils qui pourraient aussi vous soulager :
- Demandez de l’aide, car il est essentiel de construire un réseau de soutien auprès de votre famille, de vos amis, et même de professionnels de santé et de la petite enfance.
- Arrêtez de vous mettre la pression. Le lâcher-prise est aussi important pour votre bien-être, que pour celui de vos proches.
- Offrez-vous du temps, pour faire ce que vous aimez : une balade, un cinéma, écouter de la musique, lire un livre, etc. Quelques minutes peuvent suffire !
- Adoptez un sommeil suffisant pour une bonne santé mentale et physique. Et si vous profitiez pour dormir en même temps que votre enfant ?
- Équilibrez votre alimentation avec des repas sains, afin de maintenir votre énergie tout au long de la journée.
- Pratiquez une activité sportive, car l’exercice physique aide à diminuer le stress et à améliorer l’humeur.
- Découvrez des techniques de gestion du stress, telles que la respiration, la méditation ou encore le yoga. Ces méthodes permettent de retrouver le calme intérieur.
- Confiez vos sentiments et vos besoins à votre entourage. Participez aussi à des groupes de paroles avec d’autres parents vivants la même situation.
- Acceptez et fixez vos limites, en apprenant à dire non. Ne vous sentez pas coupable !
- Consultez un professionnel de santé, si vous êtes constamment épuisé ou débordé. N’hésitez pas à prendre rendez-vous.
En conclusion
L’épuisement parental est une situation complexe qui nécessite une approche globale, afin de trouver un soulagement durable. Les plantes sont un soutien précieux en matière de vitalité et de bien-être. Mais il est aussi essentiel de les combiner avec d’autres stratégies de gestion du stress et de prise en charge de la santé mentale et physique. Retrouvez progressivement l’équilibre et l’énergie nécessaire, pour faire face aux défis de la parentalité.
Quelles techniques avez-vous adoptées pour combattre l’épuisement parental ?
Références
- Alexander George Panossian – « Adaptogènes. Un examen de leur histoire, de leur activité biologique et de leurs avantages cliniques » – Herbalgram.org – 2011
- Ion-George Anghelescu, David Edwards, Erich Seifritz, Siegfried Kasper – « Gestion du stress et rôle de la Rhodiola rosea : une revue» – Int J Psychiatry Clin Pract – Novembre 2018
- Seungyeop Lee, Dong-Kwon Rhee – « Effets du ginseng sur la dépression liée au stress, l’anxiété et l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien » – J Ginseng Res. – Octobre 2017
- SophiaGerontakos, Amy Taylor, Alena Yu Avdeeva, Veronika A. Shikova, Olga N. Pozharitskaya, David Casteleijn, Jon Wardle, Alexander N. Shikov – « Résultats de la littérature russe sur l’application clinique d’Eleutherococcus senticosus (Rupr. & Maxim.) : une revue narrative » – Journal of ethnopharmacolagy – Octobre 2021
- Jun J Mao, Sharon X Xie, Jarcy Zee, Irene Soeller,, Qing S Li, Kenneth Rockwell, Jay D Amsterdam – « Rhodiola rosea versus sertraline pour le trouble dépressif majeur : un essai randomisé contrôlé par placebo» – Phytomedicine – Mars 2015
- Dr Claudine Luu et Annie Fournier « 300 plantes médicinales de France et d’ailleurs » – Éditions Terre Vivante, 2020
- Thierry Folliard – « Le petit Larousse des plantes qui guérissent – Éditions Larousse, 2013
Merci beaucoup pour cet article très complet et clair. Je ne connaissais que le Ginseng parmi les plantes citées. Dans notre société moderne, on a tendance à se tourner directement vers les médicaments « chimiques » pour tous nos maux. On oublie que les plantes peuvent soutenir notre bien-être général. Merci pour ce blog, une vraie pépite!
Merci beaucoup pour ton commentaire Elise 😊 !
Merci pour cet article 😉 n’étant pas maman, mais ayant vécu un burn-out, j’imagine que ces conseils s’appliquent également en cas d’épuisement professionnel ? 😉 Merci pour tous ces conseils !
Oui bien-sûr, ces plantes s’utilisent pour toutes les formes d’épuisement.
Ton article est super. J’ai écrit, il y a quelques semaines, un article sur les plantes adaptogènes sur mon blog. Merci pour tes conseils.